Lorsque l’on consomme du poisson gras (riche en oméga-3 à longues chaînes), une partie des acides gras qu’il contient va intégrer la rétine et avoir des fonctions protectrices vis-à-vis des photorécepteurs, ces cellules nerveuses indispensables au mécanisme de vision. Elles vont aider à lutter contre l’inflammation, limiter la mort cellulaire ou encore réduire le processus de formation de néovaisseaux anormaux dans la rétine, autrement dit aider à contrer des mécanismes clairement identifiés dans la physiopathologie de la DMLA. C’est pour cette raison que bien des patients atteints de DMLA reçoivent une supplémentation en acides gras oméga-3 via des compléments alimentaires… Retrouvez la suite de cet article “Un biomarqueur sanguin pour évaluer le risque lié à l’alimentation” dans la Lettre n°60, page 24.
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