Telle est bien la question que l’on peut se poser suite aux conclusions de chercheurs de l’université de Virginie, aux Etats-Unis. C’est en analysant deux grandes bases de données d’assurance couvrant 100 millions d’Américains, qu’ils ont constaté que ceux qui prenaient de la fluoxétine, l’ingrédient actif du Prozac (un antidépresseur de la famille des inhibiteurs de la recapture de la sérotonine), étaient considérablement moins atteints de DMLA. Retrouvez la suite de cette information dans la Lettre n°60, page 11.

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