Il n’y a pas de barrière étanche entre la forme atrophique (dite sèche) et la forme exsudative (dite humide ou néovasculaire) de la DMLA : les mêmes gènes provoquent ces deux formes qui concernent des couches distinctes de la rétine.
Ainsi, il est tout à fait possible d’avoir une forme atrophique sur un œil, une forme exsudative sur l’autre. Il est même fréquent que des patients présentent d’abord une forme atrophique qui évolue vers une forme exsudative ou, inversement, une forme exsudative qui avec le temps devient une forme atrophique.
On estime à environ 30% le nombre de formes mixtes de DMLA.
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